Titre : |
Les noctuelles vivent de Larmes I : Ténèbres blanches |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ibrahima LY, Auteur |
Editeur : |
Harmattan, 1988 |
Collection : |
Encres noires |
Importance : |
200 p. |
Présentation : |
ill en coul |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7384-0066-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
LITTERATURE AFRICAINE ROMAN AFRICAIN NOCTUELLE PAPILLON DE NUIT LEPIDOPTERE TENEBRES BLANCHES |
Résumé : |
« L’homme en fait n’est ni beau ni vilain, il est seulement riche ou pauvre, faible ou puissant. » Pour illustrer ce constat qui pourrait s’appliquer à la société africaine de la fin du XX° siècle, Ibrahima Ly raconte l’histoire de Niélé, enlevée et vendue comme esclave, de Solo, sa petite-fille, délaissée par tous parce qu’elle est pauvre et attire la malchance et enfin de Haady, jeune cadre intègre, en butte à une société qui considère la corruption comme moyen de promotion sociale.
Niélé, jeune épouse, d’un chef noir aux confins d’un pays qui n’est pas encore le Mali, trop près de la frontière pour être en sécurité dans cette fin du XIX° siècle, est enlevée avec son fils par un chasseur d’esclave qui la vend à un marchand qui en fait le commerce avec les Arabes et les chrétiens. Niélé et son fils sont dressés, animalisés et même castré pour le fils, pour être vendus, comme du bétail, sur l’un des plus importants marchés de la région. L’acquéreur conduit son troupeau à travers le désert, en un long chemin de douleur et de souffrance, pour rejoindre les côtes et l’île de Gorée où les chrétiens attendent la marchandise pour l’emmener au-delà des mers. |
Les noctuelles vivent de Larmes I : Ténèbres blanches [texte imprimé] / Ibrahima LY, Auteur . - Harmattan, 1988 . - 200 p. : ill en coul ; 21 cm. - ( Encres noires) . ISBN : 978-2-7384-0066-6 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
LITTERATURE AFRICAINE ROMAN AFRICAIN NOCTUELLE PAPILLON DE NUIT LEPIDOPTERE TENEBRES BLANCHES |
Résumé : |
« L’homme en fait n’est ni beau ni vilain, il est seulement riche ou pauvre, faible ou puissant. » Pour illustrer ce constat qui pourrait s’appliquer à la société africaine de la fin du XX° siècle, Ibrahima Ly raconte l’histoire de Niélé, enlevée et vendue comme esclave, de Solo, sa petite-fille, délaissée par tous parce qu’elle est pauvre et attire la malchance et enfin de Haady, jeune cadre intègre, en butte à une société qui considère la corruption comme moyen de promotion sociale.
Niélé, jeune épouse, d’un chef noir aux confins d’un pays qui n’est pas encore le Mali, trop près de la frontière pour être en sécurité dans cette fin du XIX° siècle, est enlevée avec son fils par un chasseur d’esclave qui la vend à un marchand qui en fait le commerce avec les Arabes et les chrétiens. Niélé et son fils sont dressés, animalisés et même castré pour le fils, pour être vendus, comme du bétail, sur l’un des plus importants marchés de la région. L’acquéreur conduit son troupeau à travers le désert, en un long chemin de douleur et de souffrance, pour rejoindre les côtes et l’île de Gorée où les chrétiens attendent la marchandise pour l’emmener au-delà des mers. |
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