Titre : |
La grande désillusion |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Joseph Eugene Stiglitz (1943-....), Auteur ; Paul chemla, Traducteur |
Editeur : |
[Paris] : Fayard, 2002 |
Autre Editeur : |
72-La Flèche : Impr. Brodard et Taupin |
Importance : |
1 vol. (324 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-213-61239-3 |
Prix : |
20 EUR |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Catégories : |
Ajustement structurel Finances internationales Libéralisme économique Mondialisation
|
Mots-clés : |
Fonds monétaire international -- Pays en voie de développement
International Monetary Fund -- Developing countries
Intégration économique internationale
Finances internationales
Mondialisation -- Aspect économique -- Pays en voie de développement
Relations économiques internationales
International economic integration
Foreign trade regulation
International finance
Globalization -- Economic aspects -- Developing countries |
Index. décimale : |
337 |
Résumé : |
« Aujourd'hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ca ne marche pas pour les pauvres du monde. Ca ne marche pas pour l'environnement. Ca ne marche pas pour la stabilité de l'économie mondiale. » L'auteur de ces lignes ' Le professeur Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, ancien conseiller de Bill Clinton, qui en novembre 1999 a démissionné de son poste d'économiste en chef et vice-président de la Banque mondiale : « Plutôt que d'être muselé, j'ai préféré partir », expliquera-t-il. Son livre est un constat qui vaut réquisitoire : preuves à l'appui, il démontre que les règles du jeu économique mondial ne sont souvent fixées qu'en fonction des intérêts des pays industrialisés avancés - et de certains intérêts privés en leur sein -, et non de ceux du monde en développement. Car, en effet, la mondialisation n'a pas seulement mis l'économie au-dessus de tout, mais aussi une vision particulière de l'économie, le fanatisme du marché. Politique d'austérité, libéralisation des marchés des capitaux et privatisations sont appliquées aveuglément, en dépit de leur échec avéré, à tous les pays, en particulier aux pays en transition et du Sud. A lire Joseph Stiglitz, on a le sentiment de comprendre les vrais enjeux du monde d'aujourd'hui, de saisir toute l'urgence d'une réforme en profondeur du statut et des politiques préconisées par les institutions financières internationales. |
La grande désillusion [texte imprimé] / Joseph Eugene Stiglitz (1943-....), Auteur ; Paul chemla, Traducteur . - [Paris] : Fayard : 72-La Flèche : Impr. Brodard et Taupin, 2002 . - 1 vol. (324 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-213-61239-3 : 20 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Catégories : |
Ajustement structurel Finances internationales Libéralisme économique Mondialisation
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Mots-clés : |
Fonds monétaire international -- Pays en voie de développement
International Monetary Fund -- Developing countries
Intégration économique internationale
Finances internationales
Mondialisation -- Aspect économique -- Pays en voie de développement
Relations économiques internationales
International economic integration
Foreign trade regulation
International finance
Globalization -- Economic aspects -- Developing countries |
Index. décimale : |
337 |
Résumé : |
« Aujourd'hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ca ne marche pas pour les pauvres du monde. Ca ne marche pas pour l'environnement. Ca ne marche pas pour la stabilité de l'économie mondiale. » L'auteur de ces lignes ' Le professeur Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, ancien conseiller de Bill Clinton, qui en novembre 1999 a démissionné de son poste d'économiste en chef et vice-président de la Banque mondiale : « Plutôt que d'être muselé, j'ai préféré partir », expliquera-t-il. Son livre est un constat qui vaut réquisitoire : preuves à l'appui, il démontre que les règles du jeu économique mondial ne sont souvent fixées qu'en fonction des intérêts des pays industrialisés avancés - et de certains intérêts privés en leur sein -, et non de ceux du monde en développement. Car, en effet, la mondialisation n'a pas seulement mis l'économie au-dessus de tout, mais aussi une vision particulière de l'économie, le fanatisme du marché. Politique d'austérité, libéralisation des marchés des capitaux et privatisations sont appliquées aveuglément, en dépit de leur échec avéré, à tous les pays, en particulier aux pays en transition et du Sud. A lire Joseph Stiglitz, on a le sentiment de comprendre les vrais enjeux du monde d'aujourd'hui, de saisir toute l'urgence d'une réforme en profondeur du statut et des politiques préconisées par les institutions financières internationales. |
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