| Titre : |
Les impasses de la modernité : critique de la marchandisation du monde |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Christian Coméliau, Auteur |
| Editeur : |
Paris : éd. du Seuil, 2000 |
| Autre Editeur : |
53-Mayenne : impr. Floch |
| Collection : |
économie humaine |
| Importance : |
1 vol. (259 p.) |
| Présentation : |
ill. en coul. |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-040760-1 |
| Prix : |
130 F : 19,82 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr., 8 p. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Développement économique
Libéralisme économique
Modernité
Mondialisation
Progrès
|
| Mots-clés : |
Économie de marché
Relations économiques internationales
Développement économique
Progrès -- Aspect économique
Modernité -- Aspect économique
Mondialisation
Libéralisme économique |
| Index. décimale : |
330.122 |
| Résumé : |
Nées du siècle des lumières, les idées de progrès social, de modernité et de développement ont suscité d'immenses espérances. Mais les avatars les plus récents du système mondial dissipent peu à peu l'espoir d'un développement durable au bénéfice de tous. La modernité nous conduit aujourd'hui vers une triple impasse économique, sociale et écologique. Pourquoi ' Les valeurs initiales de la modernité ont été trahies, sa logique dévoyée : au nom de l'efficacité, le néolibéralisme assimile le progrès social à la marchandisation généralisée et prétend gérer la complexité du monde à l'aide d'un critère unique et simpliste : l'accumulation du profit. Une vision aussi réductionniste du monde appelle d'urgence une réflexion critique sur la nature et les limites de la relation marchande, mais aussi sur les principales conséquences de sa domination : incitation à une croissance indéfinie des productions marchandes alors même qu'elle n'est ni généralisable à toute la planète ni soutenable à long terme ; creusement continu des inégalités ; exclusion et marginalisation massives ; polarisation des relations internationales sur la seule exigence de compétitivité ; impuissance des pouvoirs publics à concevoir les dimensions non marchandes de l'intérêt général. Si le monde veut préserver l'ambition légitime du progrès social, il devra refonder la modernité sur des valeurs authentiques et remettre l'économie marchande au service des hommes. |
Les impasses de la modernité : critique de la marchandisation du monde [texte imprimé] / Christian Coméliau, Auteur . - Paris : éd. du Seuil : 53-Mayenne : impr. Floch, 2000 . - 1 vol. (259 p.) : ill. en coul. ; 21 cm. - ( économie humaine) . ISBN : 978-2-02-040760-1 : 130 F : 19,82 EUR Bibliogr., 8 p. Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Développement économique
Libéralisme économique
Modernité
Mondialisation
Progrès
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| Mots-clés : |
Économie de marché
Relations économiques internationales
Développement économique
Progrès -- Aspect économique
Modernité -- Aspect économique
Mondialisation
Libéralisme économique |
| Index. décimale : |
330.122 |
| Résumé : |
Nées du siècle des lumières, les idées de progrès social, de modernité et de développement ont suscité d'immenses espérances. Mais les avatars les plus récents du système mondial dissipent peu à peu l'espoir d'un développement durable au bénéfice de tous. La modernité nous conduit aujourd'hui vers une triple impasse économique, sociale et écologique. Pourquoi ' Les valeurs initiales de la modernité ont été trahies, sa logique dévoyée : au nom de l'efficacité, le néolibéralisme assimile le progrès social à la marchandisation généralisée et prétend gérer la complexité du monde à l'aide d'un critère unique et simpliste : l'accumulation du profit. Une vision aussi réductionniste du monde appelle d'urgence une réflexion critique sur la nature et les limites de la relation marchande, mais aussi sur les principales conséquences de sa domination : incitation à une croissance indéfinie des productions marchandes alors même qu'elle n'est ni généralisable à toute la planète ni soutenable à long terme ; creusement continu des inégalités ; exclusion et marginalisation massives ; polarisation des relations internationales sur la seule exigence de compétitivité ; impuissance des pouvoirs publics à concevoir les dimensions non marchandes de l'intérêt général. Si le monde veut préserver l'ambition légitime du progrès social, il devra refonder la modernité sur des valeurs authentiques et remettre l'économie marchande au service des hommes. |
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